Une ascension permettant d'atteindre l'un des plus beaux belvédères des Hautes Pyrénées. Vignemale, Balaïtous, Pic du Midi de Bigorre, Néouvielle… vous les aurez tous en vues. Au sommet, une table d’orientation vous aidera à les reconnaître.
Au terminus de la piste (1660m), suivre en légère montée, derrière le parc à bestiaux, une sente dans les pâturages en direction de la crête.
Au bout de vingt minutes, vous atteignez la crête pour poursuivre une piste sur la droite en laissant le dôme dit de La Tucoy sur votre gauche, vous arrivez à un col en bout de piste avec un autre parc à bestiaux.
Au col (1796m), engagez vous sur le sentier le plus haut pour s’élever de manière assez soutenue en traversée. Vingt minutes plus loin, vous atteignez un premier vallon herbeux.
L’itinéraire se poursuit en montant à flanc sur la droite dans les pâturages pour rejoindre la cabane d’Aurios (Possibilité d’abri en cas de mauvais temps). Continuez la randonnée en suivant le sentier à droite de la cabane, celui-ci s’élève puis vient rejoindre horizontalement une petite crête. Vous apercevez un vallon herbeux au pied du sommet du Cabaliros. Descendre la sente pour accéder au creux de vallon avant de remonter rive droite du ruisseau (souvent à sec) une sente.
Un croisement de sentes vous invite à traverser le ruisseau et rattraper le sentier qui part sur votre droite horizontalement puis en légère descente. Vous arrivez au bout du sentier sur une croupe herbeuse.
Engagez-vous dans la pente herbeuse pour rejoindre le sommet du Pic du Cabaliros 2334 m. Au sommet une table d’orientation vous aidera à reconnaître les principaux sommets.
Pour la descente, nous vous proposons de redescendre par le même itinéraire ou pour les plus expérimentés de regagner la crête. Vous descendrez tout d’abord à un petit col (2249m) par un sentier. Suivre la sente qui évite quelques rochers par la gauche avant d’accéder au Soum de Lat Dessus. Vous regagner ensuite le Malinat (croix posée par un Yougoslave en 1942) puis la descente se raidit pour arriver sur les pentes herbeuses de la cabane d’Aurios ou du pic Arraillé pour rattraper le sentier de la montée.